Bien sûr, chacun se dit en lisant ce titre que “non, quand même, le web ne peut pas pénétrer mon intimité!” et j’étais bien d’accord avec cette idée il y a peu encore. Oui mais voilà: les événements de l’année passée, et notamment l’affaire “PRISM”, auront mis à mal mes certitudes sur la question de la pénétration des sites web que nous utilisons quotidiennement dans notre vie personnelle et intime ainsi que sur le réel “libre-arbitre” dont je me targuais de savoir faire preuve dans mes habitudes de navigation. Quelques points pour éclairer nos lanternes…